Burkina-Faso: Quand les rapports mensongers de HRW ont ressuscité des coalitions à la solde des impérialistes

0
coalitions

Comme par un coup de baguette magique, une organisation dénommée Coalitions de l’Afrique francophone pour la Cour pénale internationale (CAF-CPI), connue pour son rôle trouble  joué auparavant en Centrafrique, revient à la vie,  pour soutenir un plan machiavélique  de déstabilisation fomenté contre la transition burkinabè, par les impérialistes.

Alors que le Burkina Faso est en proie depuis plus de 8 ans à des activités des groupes terroristes, aucune de ces organisations qui s’érigent en défenseur des droits de l’homme n’ont condamné ces assaillants qui sèment la terreur au sein de la population, ou daigné poser un quelconque acte pour aider le pays à éradiquer le fléau. Mais depuis la publication des témoignages de diffamation de l’armée burkinabè par Human Rights Watch, l’on assiste à la sortie tout azimut d’associations serviles de l’impérialisme, condamnant les dirigeants burkinabè. Dirigé par un certain Ali Ouattara, les Coalitions de l’Afrique francophone pour la Cour pénale internationale (CAF-CPI), vont jusqu’à appeler la CPI  à s’autosaisir.

Il est inconcevable que des africains, prétendant travailler pour le bien du continent, fassent encore appel à cette cour corrompue, partiale, fermant les yeux sur les auteurs de vrais crimes et ne poursuivant qu’ un groupe  d’individus ciblés pour se substituer à la justice burkinabè.

Les autorités burkinabè se sont-elles déclarées incompétentes pour régler cette affaire de massacres du 25 janvier? Ont-elles refusé de faire la lumière sur l’évènement? Alors pourquoi tant de remue-ménage sur un dossier qui est du ressort de la justice burkinabè, à moins qu’une intention malveillante ne justifie tout cet acharnement contre le pays?

Par ailleurs, certaines sources dignes de foi cite Ali Ouattara, le coordonnateur de cette coalition parmi les conspirateurs en mission contre le Burkina. Cet ennemi de la paix sur le continent a toujours été sollicité par la France pour mettre en œuvre ses vielles méthodes de déstabilisation dans les pays où elle n’est plus en odeur de sainteté.

Il est important que les autorités burkinabè pensent à se retirer de la Cour Pénale Internationale qui se révèle comme un instrument au service de l’impérialisme contre les leaders visionnaires du monde, en particulier de l’Afrique.

Nelly FOUROU

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Share This