Burkina-Faso: La diffamation de nouveau remise à jour contre les forces armées /Human Rights Watch à la manette

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Human Rights Watch

Les stratagèmes pour diffamer les forces engagées pour combattre le terrorisme au Burkina et amener à une déstabilisation du pouvoir en place se poursuivent. Les impérialistes et leurs organisations présentées comme ONG de défense des droits de l’homme ne manquent jamais de tours dans leur sac, pour jeter du discrédit sur le combat que mène le Burkina Faso, afin de bouter le terrorisme hors de son territoire.

Une fois encore c’est l’ONG internationale Human Rights Watch qui est sollicitée pour agiter la baguette de la manipulation et amener à sanction la transition, à travers un rapport fallacieux publié ce jeudi 25 janvier 2024.

« Trois frappes de drones de l’armée burkinabé présentées par le gouvernement comme ayant frappé des combattants djihadistes ont provoqué la mort d’au moins 60 civils sur deux marchés et lors d’une cérémonie de funérailles depuis août 2023 », indique ce rapport, sorti tout droit de l’imagination des membres de Human Rights Watch, afin de faire croire à l’opinion nationale et internationale au non respect des principes de la guerre au Burkina Faso.

Une nouvelle qui étonne aussi bien les populations de ces 3 localités citées dans ce rapport, auprès de qui un nos correspondants ont entamé des investigations pour éclairer la lanterne de la population.

En attendant d’en savoir plus, il est important que malgré la situation sécuritaire délétère du Burkina et l’engagement sans faille à éradiquer les groupes terroristes, les autorités de la transition ne badinent pas avec le respect strict des droits de l’homme. Raison pour laquelle avant leur déploiement sur les fronts, les combattants patriotiques (FDS et VDP) sont formés sur les règles de la guerre. Ce qui inclut la reconnaissance de l’ennemi et  le respect des droits humains. En aucun cas, et dans leur élan patriotique de veiller sur la sécurité de leurs concitoyens, les militaires ne peuvent se permettre  de commettre de tels actes sachant les lourdes sanctions qu’ils encourent.

Il est important pour le peuple burkinabè de comprendre une fois encore que ces organisations à la solde des impérialistes font feu de tout bois, dans le but d’inciter à la prise des sanctions internationales contre les autorités de la transition. Pour déjouer ce projet, le peuple est appelé à se joindre aux médias panafricains pour  dénoncer cette stratégie désuète connue comme l’une des armes ayant servi à déstabiliser les Etats africains dont la Libye.

Roger SIMPORE

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